SHOPPING: Achats du 21 mai au 23 mai 2025 (Fnac, Bastille, Gibert, concert)

Mai approche de la fin mais je continue d’explorer les disquaires en quête de nouveautés et autres rééditions. Voici donc mes dernières trouvailles dans les spots habituels (Bastille, St Michel) mais aussi en concert ou à la Fnac (et oui !).

Gibert Disc, le 21 mai 2025

Encore la semaine dernière, je rappelais que je trouvais plus souvent des CDs que des vinyles à Gibert du fait de l’inflation autour de ce format (les vinyles neufs sont trop chers). J’achète d’occasion une double compilation à 20€ et un vinyle simple (également une compilation) à, un peu moins de 24€. Pas trouvé de CDs ni de DVDs cette fois-ci en revanche.

V/A, Shake! Sixties Brit Mod Nuggets, double compilation vinyle occasion, 20€
V/A, Egypt & Lebanon Cosmic Araba Disco, vinyle compilation neuve, 23,80€.

Tournée des disquaires à Bastille, 22 mai

Le lendemain, avec ma chérie et sa maman direction le Grand Palais pour la foire/expo Révélations. On y découvre notamment une œuvre tufting/peinture de Manon Duviet et Antoine Duruflé. Ce dernier a signé quelques pochettes de disques comme en témoigne sa page discogs. Nous mangeons vers Bastille. J’en profite alors pour faire un crochet dans les disquaires du quartier.

Premier arrêt à Betino’s où je cherchais le dernier EP d’Antoine Bourachot après avoir pris les deux autres l’année dernière (en juillet à Hands & Arms et Yoyaku). Je repars les mains vide en direction de la rue Keller. Born Bad a reçu le split single des Lullies, après le live la semaine dernière. Je repars avec. Ensuite arrêt chez Pop Culture. Fred a reçu les Stereolab, on en écoute quelques morceaux pendant qu’ils les dispose en facing ! Cette fois-ci, je n’achète rien mais ce n’est que partie remise comme vous le savez.

Split System / Les Lullies, Chemicals / à l’étroit, 45 tours neuf, 11€.

Concert Choses Sauvages

Le même jour direction le Pop Up pour aller voir Choses Sauvages. En première partie Marius Atherton (ex Stratocastors) a proposé un joli set. L’utilisation de la pédale de loop permet au musicien d’harmoniser (très bien) avec lui même ! Mentions spéciales au thème de Bach et à la reprise des Oh Sees. Cette dernière sonnait presque comme un classique des années 80 (option Bronski Beat) duquel on aurait retiré la rythmique.

Si le concert de Choses Sauvages est très sympa, avec un pogo bon enfant, des gens qui dansent, on se heurte avec deux autres personnes du public (tout le monde n’a pas la même étiquette il semblerait !). Cette complication a quand même (un peu) abîmé une soirée très chouette par ailleurs. Je suis tout de même reparti avec le dernier album en vinyle et le premier en CD.

Choses Sauvages, Choses Sauvages, CD neuf, 10€
Choses Sauvages, III, vinyle neuf 33 tours, 25€.

Hands & Arms et la Fnac, le 23 mai

Le lendemain, Hands & Arms réouvre ses portes. L’occasion d’aller prendre des nouvelles de ma commande (le dernier album de Young Gun Silver Fox) et de voir les dernières nouveautés. Je repars avec une réédition de l’excellent label Mr. Bongo.

Ensuite, je fais un petit crochet à la Fnac des Halles. Je ne suis pas nécessairement un adepte de l’enseigne, mais il faut reconnaitre que cette Fnac a toujours du choix et peut être bien positionnée sur certains disques. En particulier, je note que certains labels indépendants français (Tricatel ou Vietnam) sont plus facilement disponibles (et moins cher) à la Fnac que dans mes spots habituels. Je cherchais le dernier album de Leo Blomov (sorti le même jour). Au début impossible de le trouver, je demande à un vendeur, il finit par le trouver. Il était situé en façade mais sous les bacs ! En passant, bravo à Tricatel de maintenir des prix raisonnables, moins de 20€ (16,99€ pour être précis) pour un vinyle en 2025 c’est très cool !

Banda Black Rio, Maria Fumaça, réédition vinyle 33 tours neuve, 24€
Leo Blomov, Blomovinho, 33 tours neuf, 16,99€

Parenthèse sur la Fnac

Il peut apparaître paradoxal d’aller acheter des vinyles à la Fnac alors que je vous alerte régulièrement sur les disquaires en danger. Je pense que mes comptes rendus shopping parlent néanmoins pour moi (des actions plutôt que des paroles): j’achète très majoritairement mes vinyles dans des disquaires indépendants.

Je ne m’interdis pas le recours à la Fnac ni à Amazon. Je l’évite le plus possible mais je ne cherche pas à être un pur et dur. Si je défends les disquaires, ce n’est pas pour mener un combat contre les grandes entreprises. J’estime qu’ils travaillent mieux et offrent un service plus qualitatif. Les disquaires indépendants ont une fonction sociale importante et le meilleur moyen de les soutenir c’est encore de les fréquenter ! En y allant, on se rend compte que les tarifs sont compétitifs par rapport aux grandes enseignes, de même que le choix/la disponibilité. Si je vais à Born Bad ou Pop Culture, je sais qu’il y aura des vinyles en facing dont la Fnac ignore l’existence.